Les dossiers – Lucky Luke (Jean Dujardin)


Durée : ??
Genre : Comédie, Western
Réalisateur : James Huth
Producteur : Yves Marmion
Scénariste : Alexandre Charlot, Franck Magnier et Sonja Shillito
Distribué par: UGC
Budget: 27 000 000 euros
Acteurs :Jean Dujardin (Lucky Luke), Michaël Youn (Billy The Kid), Alexandra Lamy (Belle), Sylvie Testud (Calamity Jane), Melvil Poupaud (Jesse James), Daniel Prévost (Pat Poker), Jean-François Balmer (le Gouverneur)
Année de production : 2008
Date de sortie prévue : 21 octobre 2009 (Europe) et 29 janvier 2010 au Québec par TVA Films
Site web officiel : http://www.lucky-luke-le-film.com

Histoire :
Lucky Luke est chargé de rétablir l’ordre à Daisy Town, sa ville natale sur laquelle Pat Poker et Billy The Kid règnent aujourd’hui en maîtres. Il découvrira le grand amour aux côtés de Belle, une chanteuse de saloon, et se confrontera également à ses rivaux Calamity Jane et Jesse James.

 


Voici une excellent critique fait par mon collaboratreur Maxime qui a visionné le blu-ray en édition Zone 2.


Voici quelques bandes-annonces du film:

Lucky Luke

Calamity Jane

Billy the Kid

Pat Poker

Jolly Jumper

Belle

Jesse James

La bande-annonce


Site officiel pour Lucky Luke alias Jean Dujardin

Lucky Luke, le personnage de bande dessinée qui tire plus vite que son ombre, sera sur les écrans à l’automne, réalisé par James Huth avec Jean Dujardin.

James Huth, réalisateur de « Hellphone » et de « Brice De Nice » s’attaque à Lucky Luke, le personnage de bande dessinée qui tire plus vite que son ombre et sera joué par Jean Dujardin. Ce film sera sur les écrans à l’automne le 21 octobre 2009. Un site officiel du film vient d’être dévoilé, présenté sous forme d’un journal de l’époque Lucky Luke, le Daisy Mail, dont le rédacteur en chef est James Huth (http://www.lucky-luke-le-film.com/daisy-mail/index.php).

Il l’annonce très bien dans la présentation : « Le journal qui publie plus vite que son ombre vous fera vivre – presque – en direct les événements de notre bonne vieille Daisy Town et, bien entendu, les aventures de Lucky Luke ! (…) De la France à l’Argentine suivez en textes, photos et vidéos les aventures de l’équipe du film, vaillants pionniers de la vieille Europe ! »

Vous trouverez un édito où le réalisateur présente son adaptation de la célèbre BD et donne rendez pour les prochains évènements. Une mise à jour régulière permettra aux fans de Lucky Luke d’attendre l’automne.

Jean Dujardin sera aux côtés de Sylvie Testud, Michaël Youn, Melvil Poupaud, Daniel Prévost et Alexandra Lamy.

Source : http://www.influmedia.com


Lucky Luke dégaine sur grand écran

Texte provenant du site www.lefigaro.fr

INTERVIEW – En exclusivité pour «Le Figaro», le réalisateur James Huth dévoile les secrets du western avec Jean Dujardin dans le rôle du «lonesome cowboy».

Après l’agent secret, le cowboy ! Jean Dujardin n’en finit pas d’incarner les héros de son enfance. C’est sous la direction de son ami, le réalisateur James Huth, qu’OSS 117 est parti tourner une nouvelle adaptation cinématographique de Lucky Luke, l’homme qui tire plus vite que son ombre, créé par Morris et dont les aventures signées Goscinny ont fait rire plusieurs générations. Quatorze semaines de tournage en Argentine, dans les conditions d’un véritable western à la Sergio Leone, pour un budget de 27 millions d’euros : le film de James Huth (Brice de Nice) qui sort en salles le 21 octobre prochain, est une véritable superproduction à la française. Pour Jean Dujardin Lucky Luke est un personnage qui a accompagné son enfance : «À 7 ans, je dessinais ce cow-boy dans les marges de mes cahiers. Lucky Luke est un solitaire, loyal, intègre, qui va devoir revenir dans sa ville natale, Daisy Town, pour rétablir l’ordre, puisque Billy the Kid et Pat Poker y règnent en maîtres. Ma compagne Alexandra Lamy interprète Belle Starr, la chanteuse de saloon, grand amour du cow-boy». Enfermé actuellement dans sa salle de montage, le réalisateur James Huth lève un coin supplémentaire du voile, pour Le Figaro.

LE FIGARO. – Quel était le plus gros défi pour l’adaptation de cette BD culte à l’écran ?

Le but, évidemment, était de donner vie à Lucky Luke. Avec un tel costume, jaune, bleu, rouge et noir, il faut vraiment assurer pour incarner un cowboy crédible sans que cela vire à la farce totale. C’est pour cela qu’à l’écran, les vêtements de Lucky Luke ont une patine, une matière qui suggère que l’homme a une histoire. Nous en avons fait un véritable héros. En nous posant une question centrale : qui est Lucky Luke ? Pourquoi ne tue-t-il personne ?

Sauf dans le premier album…Exact. Et c’est ce qui est intéressant. On ne sait rien des origines de ce «lonesome cowboy». En relisant toutes les BD, méthodiquement, j’ai appris des bribes de sa vie. C’est avec ces petits fils éparpillés dans l’œuvre que nous avons tricoté la trame du film.

Comment vous êtes-vous retrouvé sur cet énorme projet ?

Quand Brigitte Maccioni, la directrice générale d’UGC, m’a posée la question : «Voudrais-tu faire Lucky Luke en Argentine avec Jean Dujardin ?» j’ai répondu évidemment «Oui !», sans réfléchir. Ensuite, je me suis rendu compte de l’immense défi que représentait l’adaptation de Lucky Luke au cinéma. Terence Hill l’avait déjà fait dans les années 80. Sans aucun succès. Il s’était contenté d’insérer son personnage de Trinidad dans les bottes du cow boy. Mais l’esprit des albums de Morris et Goscinny n’y était pas !

Dans votre film, comment définissez-vous Lucky Luke ?

C’est un cowboy franco-belge, qui parle français sans que personne ne s’en offusque. Morris et Goscinny ont réussi à développer leur univers propre, une façon de revoir et corriger le western à leur façon. En y mêlant de la comédie, de l’aventure et c’est ce mélange unique qui nous intéressait. Lucky Luke est une sorte de Lorenzaccio solitaire. Un personnage qui s’éloigne dans le soleil couchant, condamné à à être un héros, à défendre la veuve et l’opprimé. Il se bat tout seul contre l’inujustice. Il y a une démesure dans le personnage, qui s’accompagne d’un fort potentiel de séduction. Sous son stetson blanc, son regard intense et ténébreux brille sous la mèche noire. C’est une sorte de héros qui n’existe que dans les contes de fée.

Comment Jean Dujardin s’est-il glissé dans la peau du «lonesome cowboy» ?

C’était un vrai défi pour lui d’incarner un tel personnage mythique. Il a été formidable. Il a appris à monter à cheval très vite. Dans le film, c’est lui toutes les prises. Même quand le cheval arrive au triple galop. Il est devenu un incroyable cavalier. Il a pris son rôle très à coeur. Dans chacun des plans, il est totalement Luke, un héros droit dans ses bottes, à la fois solaire et ténébreux.

Comment définiriez-vous ce film ?

Je crois avoir réalisé une comédie western d’aventure. Mon modèle absolu étant « Mon nom est personne», le célèbre film produit par Sergio Leone, avec Henry Fonda et Terence Hill.

Sortie en salle : le 21 octobre

Source :
http://www.lefigaro.fr


Image non officiel crée par Maxime